Quand on veut créer sa vie, il faut d’abord se poser une question : est-ce qu’il y a de la place dans ma vie actuelle pour y accueillir de la nouveauté ? Bien souvent, la réponse est non ! Nous sommes tous encombrés d’émotions négatives, d’activités diverses et variées, de plein de choses qui ne nous conviennent plus. On pourrait prendre l’image d’une armoire de vêtements. Imaginez que vous avez très envie de vous acheter de nouveaux vêtements. Des habits qui vous conviendraient bien mieux que les actuels, parce que plus ajustés à votre taille, plus neufs, plus à la mode, etc… Oui mais votre armoire est déjà pleine à ras bord de vêtements. Vous ne pourrez donc pas y ranger la nouveauté. Il vous sera alors nécessaire de faire d’abord de la place dans votre armoire, en vous débarrassant des vêtements que vous ne portez plus, parce qu’ils sont trop petits ou trop grands, trop usés, etc…
Dans nos vies c’est pareil ! Vous voulez un nouveau travail mais votre travail actuel prend toute votre énergie ? Ca risque d’être compliqué… Vous avez envie d’accueillir l’amour mais votre cœur est plein de rancœur ? Là aussi ça va être difficile… Il n’y a aucune place pour accueillir toutes ces belles choses qui vous attendent. Mais la bonne nouvelle c’est qu’il existe plein de petits rituels de libération pour vous aider, en toute autonomie, à vous alléger ! Alors, essayez-les, voyez ce qui se passe, recommencez si besoin et surtout, surtout, ÉCOUTEZ-VOUS ! Car VOUS êtes votre meilleur guide. Vous seul savez ce qui est bon pour vous. Alors faites vous confiance, à commencer par le choix des rituels. Et n’hésitez pas à les mettre “à votre sauce” aussi ! Amusez-vous et mettez de la joie dans tout ça. La vie est un jeu. Créer sa vie est une grande aventure.
Personnellement, j’aime profiter de l’énergie de la Lune car je trouve qu’elle amplifie les résultats. Pour les rituels de libération, l’idéal est de les faire en lune décroissante, entre une pleine lune et une nouvelle lune. (Pour connaitre les prochaines lunes en France c’est ici, pour l’étranger, c’est là).