Cette même journée de Bien-être, organisée par la maîtresse des lieux, se poursuivit, un petit peu tard dans la soirée. Nous en avons profité pour parler de plusieurs sujets. Une m’interpella, sur la difficulté qu’elle avait à s’endormir et à trouver le sommeil malgré sa grosse fatigue. J’essayais d’avoir quelques informations sur son métier, sa vie, pour comprendre s’il pouvait y avoir un peu de stress qui pourrait être la cause de son dérèglement du sommeil. Après avoir écarté toutes causes extérieures, je lui proposais de me faire visiter toutes les pièces de sa jolie maison en pierre, située dans un très petit village de l’Ardèche.
Mémoire de la maison ?
Ces maisons ont toute une histoire, une âme. Je me suis dit, peut-être quelque chose à régler avec l’histoire de cette maison ? Et me voilà avec mon hôtesse à visiter pièce par pièce, me connectant à chacune d’elle pour sentir, entendre et voir ce qui pourrait me déranger. En vain. Mais quand nous sommes arrivées dans sa chambre, quelque chose me mît très mal à l’aise, comme un petit vertige. Mes yeux se sont portés sur un tableau posé sur le mur, au-dessus de son lit. Voyant que mes yeux ne se détachaient pas de ce tableau, elle me demanda si je le trouvais beau. Sa question me troubla car la beauté d’un tableau est assez personnel et dépend du ressenti et de la sensibilité de chacun. J’avoue que celui-là j’avais du mal à y trouver une beauté car ce que moi je ressentais me glaçait le dos. J’essayais de lui cacher mon trouble avant de comprendre comment ce tableau avait pu atterrir dans sa chambre et de surcroît au-dessus de sa tête.
Un cadeau toxique
Fièrement, elle me dit que ce tableau était un cadeau de son petit ami artiste. Je voulais en savoir un peu plus sur ce petit ami, car chaque fois qu’elle prononçait son prénom un malaise m’envahissait. Elle commença à me raconter comment elle avait rencontré ce garçon. Elle vivait cette relation, sans en être une, avec des passages de belle histoire d’amour, et dans un même temps des moments difficiles avec la peur de tout perdre et que cette histoire s’écroule. Ce garçon était très perturbé. Il passait par des moments d’envie de suicide, se scarifiait, ne s’aimait pas, prenait des substances hallucinogènes et avait une très mauvaise image de lui. Il pouvait rester plusieurs jours sans dormir, sans sortir de chez lui, sans voir personne. Quand il était dans ces moments qui l’anéantissaient, sa créativité était la plus productive. Quand il a peint ce tableau, il pensait à elle, et tout ce trouble qu’elle créait en lui. Elle essayait de faire remonter en lui une petite étincelle de lumière pour le libérer de ses démons intérieurs. Ces derniers provoquaient une dualité chez lui, contre laquelle il ne pouvait pas lutter.
Les liens psychiques
Ainsi, un lien psychique toxique c’était créé entre eux, par le biais d’un objet. Chaque fois qu’elle regardait ce tableau, inconsciemment, elle se connectait aux énergies d’amour qu’elle avait pour ce garçon. Par contre les énergies du tableau lui renvoyaient toute la souffrance et la noirceur de ce garçon.
Je lui expliquais alors qu’elle n’avait qu’à enlever le tableau de sa chambre et si elle le pouvait, de sa maison et qu’elle dormirait beaucoup mieux. Il existe différents types de liens. Beaucoup nous entravent. Alors, quand on peut les identifier et s’en libérer, on vit beaucoup plus librement.
Pour contacter Corinne Briche :
- Son site web : www.corinne-briche-therapies-energetiques.com
- Son tel : 06 87 42 38 08
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